La scène finale re-bidouillée du Faucheur (de Pratchett).
Notre brave Mort a décidé de partir à la retraite. Malheureusement, les Contrôleurs de la Réalité (qui détestent le principe de « vie », soit dis en passant…) lui ont fait remarquer que retraite=age=vie=mort, et ils lui ont donc offert un sablier. Pierre Porte, ainsi qu’il se fait appeler sur le Disque, goûte à la vie dans la ferme de Mlle Trottemenue et se dit qu’il aimerait bien continuer comme ça, ben… pour toujours. Manque de pot, son sablier est presque vide. Les contrôleurs ont créé une Nouvelle Mort pour le remplacer, une Mort qui n’a rien d’humain, pas de sentiment, pas de personnalité propre. Pierre Porte, dégouté par cette nouvelle personnification anthropomorphique, reprend sa place en se battant contre la Nouvelle Mort.
J’ai ici remplacé la Nouvelle Mort par les Contrôleurs de la Réalité (en fait ce dessin n’était qu’une excuse pour les dessiner), et j’ai redonné à Pierre sa tenue de travail (dans le livre, il avait remis sa robe noir). Ben quoi, comment résister à l’envie de dessiner la Mort en salopette et chapeau de paille?
Bon, on a plutôt l’impression qu’il est en train de leur donner un cours de maniement de la faux, mais c’est l’intention qui compte, non? Non? Sniff…